Après la fête en l'honneur de Valentina Vezzali, vient le moment de la réflexion.
Je ne sais pas ce que vous avez éprouvé quand Andrea Magro, triomphante, a porté sur ces épaules Valentina et immédiatement après Margherita Granbassi.

Je vais vous dire ce que j'ai pensé. J'ai pensé que ce n'était pas à lui que revenait cet honneur, mais qu'il revenait au maître d'armes Giulio Tomassini, celui qui entraîne la Dame du Fleuret et qui a aidé Granbassi à faire émerger son talent.

Aujourd'hui, je me permets de critiquer une certaine escrime.
Oui, moi qui ne la pratique pas, mais même un aveugle, messieurs dames, verraient certaines fautes et certains manques de fair-play...



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Ciao
Ella

Boarf, si les questions d'ego commencent à émerger dans de tels moments, c'est qu'il y a un pb. Si Magro est entraineur national, il est normal que ce soit lui qui fête la victoire...de tte façon l'autre ne doit pas être accrédité pour entrer dans l'enceinte de combat...

après l'or de l'une et le bronze de l'autre, vezzali et granbassi sont allées rejoindre tomassini dans les estrades trente secondes après avoir été portées par Magro.

elles ont embrassé leur maestro avant leur famille, c'est tout dire.

tomassini est assez difficile à louper avec sa moustache.

Et si tout simplement la joie s'exprimait vers le premier qu'on trouve?

Personne n'a donc jamais embrassé son adversaire apres une belle victoire?

Pour ma part j'abonde un peu aux propos de Fred, c'est surement plus un probleme d'accréditation