Re: DOPAGE (II)
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Fait partie des meubles
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Voici quelques réponses :
1) C'est la liste récupérée sur le site du Ministère des Sports et qui est remise à jour régulièrement. Il y a la possibilité de s'abonner à des listes de diffusion du Ministère pour recevoir des infos sur plusieurs sujets. Je reçois ainsi régulièrement les infos sur la MAJ de la liste et je la mets à jour dès que j'ai les infos. 2) En ce qui concerne les sources d'interdiction, voici un extrait du site www.santesport.gouv.fr : "La France reconnaît la liste de référence des classes pharmacologiques de substances et de procédés dopants interdits, révisée et adoptée par le Groupe de suivi de la Convention contre le dopage du Conseil de l'Europe. Cette convention a été adoptée le 16 novembre 1989 et publiée, par décret n°91-274 du 13 mars 1991, au Journal officiel de la République française du 16 mars 1991. Cette liste des substances dopantes et méthodes de dopage interdites reprend celle proposée par le Comité international olympique (CIO) et adoptée par les fédérations sportives internationales. Il est prévu qu’à partir de 2003, cette liste soit élaborée et proposée par l’Agence mondiale antidopage (AMA). En France, un arrêté des ministres chargés de la santé et des sports fixant la liste des substances dopantes et méthodes de dopage interdites (article L.3631-1 du Code de la santé publique), reprenant la liste internationale précitée est publié au Journal officiel. " 3) J'utilise moi-même des médicaments de ce type (Diprolène). Ceux-ci appartiennent en fait à une classe de substances soumises à restriction, les glucocorticostéroïdes, et sont autorisés sous forme locale. Le mieux est alors d'avoir avec soi la dernière ordonnance du médécin prescrivant ces produits. Je n'ai jamais été contrôlé, mais je garde avec moi une telle ordonnance au cas où. Il y en a la liste à la fin du fichier, en annexe. Pour finir, une autre citation du site santesport : "Glucocorticoïdes: naturels (Cortisol) ou de synthèse, ils diminuent la douleur et l'inflammation et sont euphorisants. Ils sont interdits par voie générale (orale, rectale, injection intraveineuse et intramusculaire). Ils sont autorisés localement sous forme de gouttes auriculaires, gouttes nasales, collyres, pommades, inhalations ainsi que par voie anale. En revanche, leur utilisation sous forme d’injections locales et intra-articulaires peut nécessiter une notification préalable du médecin, si le règlement d’une autorité responsable le prévoit."
Date de publication : 09/10/2002 17:52
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Re: DOPAGE (II)
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Habitué
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Merci de toutes ces précisions.
Ce que je trouve relativement déplorable, c'est que je doive toujours pointer l'attention des médecins (hormis peut-être, celui du sport ... ouf !) sur le sujet, parce qu'autant mon généraliste que le dermato du coin n'ont pas intégré le problème du dopage dans leur démarche médicale quotidienne.
Date de publication : 10/10/2002 15:04
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