Re: Stage sabre à Budapest
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Fait partie des meubles
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Avec Lazlo Szepesi , il n'y aura surement pas beaucoup de temps morts !!!
Date de publication : 08/02/2008 10:47
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L'age et la ruse surpasseront toujours la jeunesse et le talent
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Re: Stage sabre à Budapest
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Fait partie des meubles
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Je reprend, pour raconter le reste. Au retour, parce que je n’ai guère eu de temps.
Le Jeudi, nous avons rendez-vous à 9H30 à la salle d’armes du Me Szepezi. Petite, mais chargée de souvenirs. Au mur, les photos des membres de l’équipe de France qu’il a entraînée (Lamour, Ducheix, Guichot, Granger-Veyron, Daurelle…). Les tireurs sont là, qui nous attendent. Nous remettons les plastrons, et au boulot. Le Me Szepezi donne les exercices, et nous avons chacun un élève pour mettre en pratique. Nous travaillons comme ça jusque vers midi. Ce qu’il nous montre est passionnant. Après, on se fait une petite rencontre par équipe entre nous pour jouer l’apéro. Douche, et repas avec les jeunes dans une pizzeria à proximité. Les pizzas ont beau être taille XXL, elles ne pèsent pas bien lourd. L’après-midi, visite de Budapest. Le château, la citadelle, les monuments remarquables, le marché couvert… Au pas de charge, façon touristes japonais. Beaucoup à voir, et peu de temps. Un petit vin chaud au marché, et nous rentrons à l’hôtel. Juste le temps de prendre l’apéro joué le matin, et le minibus viens nous chercher pour le restau. Un restau typique, avec musique tzigane et tout et tout… Ambiance façon rendez-vous de chasse après la battue. Sympa, et pas mauvais du tout. Nous sortons du restau, le chauffeur nous attend. Il nous a trimballé toute la journée et semble pressé de nous envoyer à l’hôtel. Starsky et Hutch dans les rues de Budapest. A un moment nous avons bien cru avoir droit au carton… Nous terminons par une discussion au bar de l’hôtel. Et devinez de quoi on parle ? Escrime… Le lendemain, c’est la Compète qui commence. Nous, on regarde et on prend des notes. Sur les leçons d’échauffement des différentes nationalités, les actions utilisées par les tireurs. Tant qu’on y est, on suit aussi les français. Quant on est habitué à voir tirer des minimes ou des cadets, ça fait bizarre. Et ça donne plein d’idées. Le soir, pour les tireurs c’est repas à l’hôtel – dodo. Nous préférons aller nous chercher un restau en ville. Au départ, l’idée était de retrouver la pizzeria de la veille, mais en route on se dit qu’on en trouvera bien une au centre ville. La seule que nous trouvons après avoir un peu marché est un gourbi de vente à emporter. Il a une petite salle que nous réaménageons pour accueillir notre groupe. Comme nous ne comprenons pas le serveur, que personne ne viens pour une commande, nous décidons d’aller voir plus loin. Nous tombons sur un restau sympa, dont la carte est traduite en français, et où on mange très bien pour un prix très correct. Une adresse à retenir pour la prochaine fois. Après le repas, Jean Philippe et Franck rentrent à l’hôtel, nous préférons aller prendre un verre et voir Buda by night. Deux filles croisées dans la rue nous indiquent un bistrot, auquel nous nous rendons. Le bar est très gai (y). Mais plein de filles (mignonnes). Après un moment, nous demandons à l’une d’elles un endroit sympa. Elles nous indiquent un bar-restaurant de nuit : l’Alcatraz. Le cadre, c’est la prison, avec ses cellules, son parloir, ses matons (pas commodes et balaises les videurs). Deux salles, une avec un DJ, l’autre plus calme fait restau. Les tables sont dans les cellules (on est derrière les barreaux). Plein de jolies filles qui dansent pour se rincer l’œil (non, pas des hôtesses). L’une d’elle sera assez sympa pour nous déposer à l’hôtel. Après une courte nuit, retour à la compète. Leçons, observation de matchs… Le niveau est relevé, et les français sont un peu en dedans. Le régional de l’étape gagne le tournoi, sous les vivats de ses compatriotes. De retour à l’hôtel, nous dormons un peu avant le repas. Soirée tranquille au bar de l’hôtel, belote et discussions. Le dernier jour, c’est la compète par équipes. Après une première victoire, les français passent au travers. Les vainqueurs de la journée sont les coréens et les chinois. Pekin sera rude ! Encore des leçons et des assauts à observer. La finale terminée, nous prenons le taxi pour l’aéroport : il est temps de rentrer. Et de faire un premier bilan de ce que nous avons vu.
Date de publication : 11/02/2008 16:01
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Re: Stage sabre à Budapest
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Fait partie des meubles
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La conclusion :
Ce stage vaut le détour : - Travailler avec Lazlo Scepezi est passionnant - Voir les leçons données avant les compètes très instructif - Observer les compètes de haut niveau très instructif également - Ecouter JP Daurelle coatcher les tireurs également - Et enfin pouvoir échanger avec des collègues, ce que l'on fait rarement sur les bords de piste. Ce qui permet de se connaître, et fera qu'on ne se regardera pas en chiens de faience au prochain tournoi Bref, que du bonheur. Même si je rentre sur les genoux, et que j'ai une pensée pour ceux qui, dans le même état que moi, reprennent le collier aujourd'hui .
Date de publication : 11/02/2008 16:09
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Re: Stage sabre à Budapest
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Habitué
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un stage en hongrie ....on grois revé.......tas raison cest du lourd cest pour ça que lazlo s'épaissit.............
Date de publication : 11/02/2008 21:18
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Re: Stage sabre à Budapest
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Accro
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Merci pour le récit Odel !
Un petit doc écrit, fruit de vos observations et de votre travail, est-il en préparation pour ceux qui n'étaient pas à Buda ? A+ sur les pistes
Date de publication : 12/02/2008 14:42
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Re: Stage sabre à Budapest
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Fait partie des meubles
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C'est effectivement en préparation. Pour ma part, je me suis plutôt focalisé sur les leçons.
Date de publication : 13/02/2008 00:10
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