Le potentiel humain est immense et nous ne l’utilisons qu’à quelques %.
Certaines personnes l’activent très tôt, pour différentes raisons, très souvent, dans mon expérience, pour des raisons douloureuses.
Certains potentiels sont détruits, souvent par de la violence, beaucoup par l’obscurantisme de nos éducations.
Aider à activer, ré-activer des potentiels, voila quelque chose d’intéressant à mon sens.
En tant que médecin je constate tous les jours comment les souffrances détruisent les êtres humains jusque dans leur corps. C’est ainsi que je rencontre des enfants malades, souvent atteints de pathologies endocriniennes.
Parmi les enfants qui abîment leur corps pour exprimer leurs souffrances, je croise beaucoup d’enfants précoces pour des raisons trop longues à expliquer ici.
En tant que membre de Mensa je pense avoir une légitimité de plus pour parler de précocité, mais je ne mets jamais ce point sur mon CV tellement la précocité est mal comprise, mal acceptée, mal évaluée dans ce pays et où on n’explique à personne que chaque être humain peut augmenter son potentiel chaque jour et je ne parle pas que du potentiel intellectuel.

Les commentaires violents sur ce forum n’ont strictement aucun sens que ce soit sur ce sujet ou sur tout autre.

Avoir décidé de fermer son cœur engendre des remarques souvent inappropriées :
- les enfants du DIEP ne sont pas des enfants du 16e mais des enfants de l’Ile de France, déscolarisés et c’est l’Académie qui les dirige sur les deux seuls établissements de Paris (Janson et Georges Brassens) qui ont le courage de s’occuper de ces enfants – le problème ne sont pas les notes, les classes, le problème est la déscolarisation, la désocialisation et toutes les souffrances ;
- ce n’est pas le Lycée qui est moche, c’est la salle du DIEP qui est moche, la peinture est décrépie et jaunasse, le matériel est vieillot, mais ce qui est important pour ces enfants, c’est d’avoir un lieu qui les protège.

Enfin, c’est une formation en psychothérapie qui me permet d’apprécier tous les transferts intéressants que l’escrime peut permettre. Chaque arme a ses qualités mais « malheureusement » je n’ai appris qu’un peu de sabre.

Un article d’une page ne peut rapporter en détail ce qui s’est dit pendant 3 heures avec tous les participants.
Cet article souligne le côté « éducation par le sport » de l’escrime. Je le vois comme un beau témoignage de ce magnifique travail que je constate souvent dans les clubs et un encouragement pour tous nos Maîtres d’armes à aller puiser dans leur créativité pour aussi aider chacun de leurs licenciés à se construire.
Nous seront contents de partager avec les personnes intéressées pour qui ce type de démarche fait sens.

« L’Expert », mes commentaires ont juste pour but de vous aider à ouvrir votre cœur et à prendre conscience que votre colère a sans doute du sens, au-delà de ces forums. Prenez soin de vous.

Cordialement
V. Guérin

Citation :
La violence est chose relative et multiforme. Elle peut même se cacher assez cyniquement (de fait, elle s'y cache souvent) derrière le masque de la sympathie ou de la compassion.

Citation :
Je ne suis pas convaincu que tes propres commentaires en soient totalement exempts.

Citation :

Je crois qu’il est très grave qu’un médecin colporte de telles billevesées.
L’affirmation « Nous n'utilisons que 10% de nos facultés mentales ou de notre cerveau » est un mythe, qui n’a non seulement aucun fondement scientifique, mais qui est unanimement rejetée par la communauté scientifique.

Madame, si vous êtes gynécologue, pas neurologue, cela ne vous dispense pas d’éviter de propager cette mystification.

La phrase : « Nous n'utilisons que 10% de nos facultés mentales. Albert Einstein », c’est une phrase apocryphe et fausse, utilisée par la scientologie.

Citation :

« Avec la Dianétique, le fondateur a cherché à soulager l’homme des souffrances que le mental produit dans son corps et dans son existence. »

Etes-vous membre de l’église de scientologie ?

Citation :

Aucune.
Je suis membre d’un club d’escrime, cela ne me donne pas de légitimité à parler de la manière d’enseigner l’escrime.
Celui qui est légitime, c’est le maître d’armes.
Moi, j’ai un avis, qu’on peut estimer plus ou moins éclairé – mais je ne suis pas légitime.

Vous n’êtes pas légitime à parler des surdoués, vous avez tout au plus un avis.
Et je ne vois pas ce que mettre en avant votre qualité de gynécologue ou d’endocrinologue peut apporter, si ce n’est de pousser certains naïfs à prendre pour argent comptant vos propos.

Citation :
En cette matière, il y a tout et n’importe quoi dans ces formations. D’ailleurs, je lis dans l’article un certain nombre de foutaises entretenus dans ces milieux là (et dans vos propos : du type « obscurantisme de nos éducations », etc.).
Vous nous permettrez donc d’émettre en doute sur cette formation, car vous qui êtes plus disert sur votre CV d’habitude, là, c’est un peu silence radio.

Citation :
Les commentaires, qu’ils vous plaisent ou pas, ont un objectif : celui de poser la question de l’efficacité de ce qui est présenté. Efficacité au-delà de l’effet placebo ou Hawthorne.
Vous prenez des initiatives, très bien. Dans la mesure où vous les rendez publics, supportez qu’on les juge.
Si c'est scientifique, comme démarche, docteur, alors, ce doit être réfutable (Popper).

Citation :

Je lis dans l’article que le collège a près de 1000 élèves et une trentaine d’élèves dans cette section.
Or, le taux de prévalence serait de 2,3%, ce qui nous donne sur 1000 élèves que 23 élèves du collège même devrait statistiquement être surdoué.
Là, il aurait fallu ramassé dans toute la région parisienne : bon, alors, clairement : quelle est véritablement leur origine géographique, plutôt que de rester toujours dans le flou entretenu.

Citation :

Je vous remercie de votre condescendance.
Croyez-vous que que j’ai subi un abus sexuel de la part d’un maître d’armes ?
Docteur ? Etes-vous en train de me proposer vos soins.
Remarquez, allez chez le gynéco, ce serait une première pour moi.

Citation :
Les "surdoués" ou "précoces" ou quelque soit le terme impropre qu'on leur attribue n'apprennent pas à faire des efforts pour apprendre. Quand ils arrivent à un niveau où ils ont besoin d'un minimum d'effort pour apprendre, il perdent pied et décrochent complètement et fuient la matière : ils passent du statut d'élève qui réussit très bien à celui qui ne sait même plus faire ce qu'il savait deux ou trois ans plus tôt.
Pour eux, maîtriser l'échec, c'est apprendre à l'accepter, pas besoin de chercher à pinailler une fois de plus pour rien.
Citation :
C'est plafonné à 176 le test de QI si je me souviens bien.

Citation :
C'est ce qu'on fait quand on les détecte assez tôt et ça leur évite l'échec scolaire.
Il y a aussi des classes adaptées (un peu moins d'une trentaine en France) où ils apprennent beaucoup plus vite et aucun de ceux qui passent par là ne sont en échec scolaire. L'ANPEIP se bat pour essayer d'assurer une prise en charge de ces enfants partout sur le territoire mais c'est loin d'être le cas actuellement.

Citation :
La même chose que la lutte gréco-romaine ou le judo : elle sert à confronter le jeune au besoin de faire des efforts pour apprendre et à le confronter à l'échec pour qu'il ne soit pas complètement désarçonné si ça lui arrive sur un sujet autrement plus important qu'un match et qu'il sache l'accepter et le surmonter (bref, le maîtriser).

Et quand je dis que les tests sont plafonnés à 176, ça signifie bien ce qui est écrit : Les tests de QI ne permettent pas de distinguer des QI supérieurs à ce chiffre (je ne suis pas sur de sa valeur à 176 mais il me semble que c'est ça), ça ne signifie pas que les capacités du type de celles mesurées par les tests de QI sont limitées... seulement que la mesure du QI ne sait pas aller au delà.

(Il ne s'agit là que d'un message à l'attention d'un éventuel pinailleur adepte des polémiques inutiles, s'il en existe un sur ce site).