Laxus a écrit :
Sauf que pour les autres on vote pour une personne, pas un club.

D'ailleurs ces personnes m'ont l'air d'être des produits de la région, et ayant été formé dans la région, non ? (même si certains ont pris leur envole).

D'ailleurs on ne sait toujours pas se que ça va rapporter au gagnant

kartouche a écrit :
Ah bon ?
Ce n'est pas un vrai vote.
C'est comme le vote de la Star'ac et du cirque romain !

- pouce levé : amnistié !
-pouce baissé =mort !

RazorBack a écrit :
Laxus, laxatif même racine il m'à l'air d'être une belle purge ...

mortderire a écrit :
150 votes d'écart
faut se remuer la croupe !!
Qu'est ce qu'y foutent les épéistes

SCHNEID a écrit :
pose la question a François Amanrich

amanrich a écrit :
Citation :

SCHNEID a écrit :
pose la question a François Amanrich

La dictature des urnes

C'est vrai, qu'à première vue, donner à chacun l'égalité selon le principe un homme une voix est une belle et généreuse idée.
Bonne ? à voir.
Car, instruit ou ignorant, sage ou fou, intéressé ou indifférent, chacun, dès qu'il s'agit de politique, est sur un même pied d'égalité.
Le vote de celui qui se prononce après s'être informé, renseigné, qui agit en connaissance de cause, a la même valeur que le vote de celui qui va aux urnes pour se défouler, qui vote avec ses tripes plutôt qu'avec sa raison.
Si la démocratie donne à chacun l'égalité, elle oublie le paramètre le plus important : la sagesse. Et cela, ça ne se décrète pas !
L'idée est généreuse bien sûr, mais est-ce suffisant ?
En fait, elle conduit au contraire de ce qu'elle recherche. A chaque élection, sur la moitié du corps électoral qui se déplace pour voter - l'autre moitié n'y va pas - 20 % vote toujours à droite et 20 % toujours à gauche.
Ceux qui font la différence, ce sont les 10 % restants. Malheureusement, cette minorité d'hésitants, est celle qui est la moins instruite en politique. C'est elle qui vote sur des coups de tête, qui vote avec ses tripes. Et l'on assiste à la transformation de l'urne démocratique en boite de Pandore. L'urne devient l'instrument de la dictature, involontaire, d'une minorité. Et c'est cette minorité qui décide de l'orientation d'un pays, "un coup à droite, un coup à gauche", que certains nomment l'alternance.
Paradoxe de l'incohérence érigée en système politique !
Il est temps de changer car on ne bâtit rien de raisonnable sur la déraison. Le système actuel vit sur un égalitarisme de convenance qui veut que, lorsqu'il s'agit de politique, tout le monde à la science infuse.
Et bien non ! Non, la somme de nombreuses incompétences n'a jamais produit de compétence. Non, l'ignorance du plus grand nombre n'a jamais conduit à la connaissance.
Tant pis pour le dogme, mais la majeure partie des citoyens d'un pays a d'autres soucis que de s'informer en politique. Les priorités de chacun sont : sa famille, son activité professionnelle, ses amis, la politique venant après, si elle vient. Et, même si cela brise un tabou, la majorité des citoyens n'a pas la compétence pour juger un programme politique.
En revanche, c'est parce que la clérocratie sait que chacun d'entre nous est parfaitement apte à dire ce qui est bon pour lui, que dans le système des clérocrates c'est l'ensemble de la nation qui décide du programme. Les "désignés" étant là pour exécuter les décisions des citoyens et non le contraire comme actuellement.


Fallait pas demander !

Laxus a écrit :
Derien, c'était avec plaisir