Des hommes de bronze
Laurent François, Alim Latreche, Ludovic Lemoine et Damien Tokatlian ont fait vibrer hier encore le Grand Palais. Se débarrassant de l’équipe d’Italie en quart 45-33, les fleurettistes français affrontaient la Russie pour l’accession à la finale.
La rencontre fut quasiment toujours menée par la Russie mais au huitième relais, Tokatlian à base de changé-batté-coupé redonne l’avantage à la France 40-38. Cependant le russe Andreev, homme fort de la rencontre, tient bon et à 44 partout , Lemoine fait attaque au fer, Andreev parade-riposte dans le même temps… et c’est la riposte qui est donnée. Le Français s’écroule.
La déception est énorme et le moral au plus bas car les Français y ont cru tout du long et cette touche les foudroie. Pourtant, il faut tout tenter pour aller chercher le bronze et les maîtres Métais et Leménager trouvent les mots pour remettre l’équipe sur le chemin de la conquête.
La Pologne est prenable, ils le savent.
Jusqu’au 6ème relais, les Polonais mènent le match, puis Latreche rentre en piste. Son regard indique clairement qu’il ne se laissera pas une nouvelle fois privé de la victoire. A 30-27 contre, c’est un Latreche conquérant qui va chercher chaque touche, provoquant son adversaire qui termine toujours dans son fer. Il rend le score à 35-33 pour. Lemoine réceptionne le témoin et colle 5-1 à son adversaire. Cette fois, c’est Tokatlian qui finit. Grosse pression pour le Français qui, dès le départ, est malmené par le jeu tout en puissance du Polonais. Il se ressaisit, sa main refait du jeu jusqu’à une quarante cinquième touche libératrice.
Parallèlement à cette épreuve, les fleurettistes femmes, handi comme valides, tiraient également leur compétition par équipe mais toutes deux furent arrêtées en quart de finale, les premières battues par l’Allemagne 45-30 et les secondes par l’Italie 45-25.
Comme quasiment toujours au fleuret féminin, l’histoire se termine par la victoire de l’Italie, au dépend de la Pologne aujourd’hui. Ces dernières ont pourtant bien tenté de réécrire la fin (elles mènent 15-5 à la fin du troisième relais) mais une reprise en main des troupes par Cerioni annule tout velléité polonaise et c’est un nouveau sacre des Italiennes.
La rencontre fut quasiment toujours menée par la Russie mais au huitième relais, Tokatlian à base de changé-batté-coupé redonne l’avantage à la France 40-38. Cependant le russe Andreev, homme fort de la rencontre, tient bon et à 44 partout , Lemoine fait attaque au fer, Andreev parade-riposte dans le même temps… et c’est la riposte qui est donnée. Le Français s’écroule.
La déception est énorme et le moral au plus bas car les Français y ont cru tout du long et cette touche les foudroie. Pourtant, il faut tout tenter pour aller chercher le bronze et les maîtres Métais et Leménager trouvent les mots pour remettre l’équipe sur le chemin de la conquête.
La Pologne est prenable, ils le savent.
Jusqu’au 6ème relais, les Polonais mènent le match, puis Latreche rentre en piste. Son regard indique clairement qu’il ne se laissera pas une nouvelle fois privé de la victoire. A 30-27 contre, c’est un Latreche conquérant qui va chercher chaque touche, provoquant son adversaire qui termine toujours dans son fer. Il rend le score à 35-33 pour. Lemoine réceptionne le témoin et colle 5-1 à son adversaire. Cette fois, c’est Tokatlian qui finit. Grosse pression pour le Français qui, dès le départ, est malmené par le jeu tout en puissance du Polonais. Il se ressaisit, sa main refait du jeu jusqu’à une quarante cinquième touche libératrice.
Parallèlement à cette épreuve, les fleurettistes femmes, handi comme valides, tiraient également leur compétition par équipe mais toutes deux furent arrêtées en quart de finale, les premières battues par l’Allemagne 45-30 et les secondes par l’Italie 45-25.
Comme quasiment toujours au fleuret féminin, l’histoire se termine par la victoire de l’Italie, au dépend de la Pologne aujourd’hui. Ces dernières ont pourtant bien tenté de réécrire la fin (elles mènent 15-5 à la fin du troisième relais) mais une reprise en main des troupes par Cerioni annule tout velléité polonaise et c’est un nouveau sacre des Italiennes.
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