L’arbitre peut déclarer un tireur touché sans que l’appareil ne le signale:
- si un des deux tireurs se déclare touché et que l’appareil ne le signale pas
- faux
- vrai en cas de touches de pénalisation
Lorsqu’un tireur franchit des deux pieds la limite arrière de la piste, l’arbitre :
- arrête le combat et le replace sur sa ligne d’avertissement
- arrête le combat et le considère comme touché
- laisse le combat se dérouler en attendant une touche
L’attaqué seul est touché :
- si, au lieu de parer, il essaye d’esquiver, mais sans y réussir
- s’il réussit une parade et riposte
- si, dans une attaque composée, il est arrêté.
Le temps d’escrime est :
- le temps qu’il faut à l’arbitre pour dire halte
- la durée d’une attaque parfaitement exécutée
- la durée d’exécution d’une action simple
La parade donne droit à :
- l’attaque composée
- la riposte
- l’attaque
Il est possible de poser son arme sur la piste pour la redresser :
- après le « allez »
- après le « halte »
- à aucun moment
Une action offensive, simple immédiate, qui suit une première action, est :
- une remise
- un contre-temps
- une contre-riposte
A quelle occasion l’analyse donnée d’une phrase d'armes par un arbitre peut-elle être contestée :
- quand l'arbitre ne l’analyse pas dans sa totalité.
- jamais car c’est une décision de fait.
- quand elle est prise contre l’avis d’un juge de main ou de terre
La mise en garde doit se faire au milieu du terrain :
- dès qu’il y a un arrêt du combat
- au commencement de chaque période et de la minute supplémentaire
- seulement lorsque l’arbitre l’indique
Au commandement de « prêt », je peux me mettre en garde en ligne :
- non
- oui
- seulement si l’arbitre me l’autorise
A la fin d’un match en poule, le score est de 2/2 et aucune touche n’est marqué après la minute supplémentaire :
- l’arbitre écrit le score du match : V5-D5
- l’arbitre écrit le score du match : V2-D2
- l’arbitre écrit V2 pour le tireur qui a gagné le tirage au sort et V1 pour son adversaire
Les sanctions prévues au règlement des jeunes sont valables :
- pour toutes les catégories jusqu’à minimes
- pour toutes les catégories jusqu’à cadets
- pour les catégories poussins, pupilles et benjamins
Le combat est engagé quand :
- dès qu’il y a un contact de fer
- l’arbitre donne le commandement de « Allez »
- dès le premier déplacement
Lorsqu’un tireur dépasse son adversaire, mais reste sur la piste :
- l’arbitre arrête le combat et remet les adversaires en garde à leurs lignes de mise en garde
- le tireur qui a subi le dépassement se met où il veut et son adversaire se replace à la distance
- l’arbitre arrête le combat et remet les adversaires à la place qu’ils occupaient avant le dépassement
Si un des deux tireurs s’arrête avant le commandement de « halte » et qu’il est touché :
- l’arbitre accorde la touche
- l’arbitre doit annuler la touche
- l’arbitre annule la touche mais donne un carton jaune pour interruption abusive du combat
Lorsqu’il y a corps à corps, c’est à dire lorsque les deux adversaires sont en contact :
- le combat est arrêté par l’arbitre
- le combat est arrêté au fleuret et au sabre, mais pas à l’épée
- les tireurs, aux trois armes, sont sanctionnés par un carton jaune
L’attaque est correctement exécutée quand :
- le tireur marche le bras raccourci, fait une fente et touche en allongeant le bras
- l’allongement du bras, la pointe menaçant la surface valable, précède le déclenchement de la fente ou de la flèche
- le tireur en faisant sa fente, dépasse son adversaire et touche en se retournant
Une préparation, c’est :
- le bras allongé, la pointe menaçant l’adversaire et précédant la fente
- l’action qui précède la parade ou la contre-attaque.
- l’action des bras ou des jambes qui prépare l’attaque
Aux trois armes, la position de garde doit être prise :
- immobile, les pieds immédiatement derrière la ligne de mise en garde
- pointe en ligne, les pieds sur la ligne de mise en garde
- dans n’importe quelle position, mais derrière la ligne de mise en garde
Au commandement de « halte », le terrain gagné reste acquis :
- tant que la ligne médiane n’est pas à nouveau franchie par un des tireurs
- jusqu’à ce qu’une touche valable soit accordée
- jusqu’à ce qu’une touche valable ou non valable soit marquée